Monsieur Vaxès, vous avez mal apprécié le problème posé par cet article.
Il ne s'agit pas aujourd'hui de psychiatriser les délinquants, mais, au contraire, dans un souci de pragmatisme et d'efficacité, d'identifier ceux qui relèvent d'une prise en charge psychiatrique. Vous ne trouverez pas de réponse dans des arguments fallacieux tels que le manque d'effectifs dans le secteur psychiatrique.