…en soumettant, dans les articles 5 à 10, la libération conditionnelle ou le sursis à une obligation de soins ne me paraît pas de bon augure. En effet, les détenus, qui ne sont pas désireux de se soigner, l'accepteront afin d'améliorer leurs conditions de détention ou de bénéficier d'un sursis. Or chacun sait que le consentement de la personne est essentiel en matière de traitement psychiatrique.
Tel est l'arrière-fond de ce texte qui me paraît confus, grave et peu étayé.