Je veux bien reconnaître que, dans un contexte particulier, le Premier ministre a dû prendre une décision. Mais je pense que nous devons réfléchir à l'évolution du salaire direct et veiller à ne pas créer de nouvelles inégalités entre salariés. C'est pourquoi je propose que, l'an prochain, nous remettions à plat les différentes aides à la personne – déductions et crédits d'impôts, exonérations de cotisations sociales ou exonérations partielles, CESU –, qui forment un fatras illisible pour les citoyens.