Nous soutenons donc cette mesure extrêmement importante.
La seconde mesure contenue dans cet article est un peu plus aléatoire, reconnaissons-le, puisqu'elle est laissée à la discrétion des employeurs. Elle est soumise au fameux « dialogue social » : on imagine bien qu'il n'y aura pas beaucoup de lieux où cette prime de 200 euros sera versée.
Si cet article n'offre pas de solution miracle, il est au moins un début de réponse au problème que constituent, d'une part, la cherté des carburants, et d'autre part, l'obligation où se trouvent certains salariés d'utiliser leur véhicule personnel pour se rendre à leur travail.
Ces deux dispositions ont donc un intérêt évident.
En outre, il faut souligner, chers collègues de la majorité, que vous devriez tirer les conséquences des dispositions que vous avez votées récemment. Je pense à l'obligation pour un chômeur d'accepter un emploi situé à deux heures de son domicile, sous peine de voir suspendu le versement de ses indemnités de chômage.