Or j'ai le sentiment qu'au fil des ans, un grand nombre de nouveaux privilèges se sont créés. Eh bien, il convient aujourd'hui, non pas de les diminuer, mais de les détruire !
Nous devons en arriver à une nouvelle nuit du 4 août – bien sûr, ce pourrait aussi être une matinée ou un après-midi, je ne serai pas sourcilleux !