En effet, en dépit de ce que vous tentez de faire croire à l'opinion publique, les personnes en sous-occupation ne sont pas toutes des profiteurs qui bénéficient de passe-droits à l'intérieur du parc social. Ce sont des réalités différentes, souvent humainement très douloureuses : les parents divorcés qui doivent accueillir leurs enfants les jours où ils en ont la garde, les parents âgés qui ont vu leurs enfants quitter le foyer familial, mais qui aimeraient pouvoir les accueillir en cas d'accidents de la vie, comme leurs petits-enfants lorsque le besoin de cette solidarité familiale s'exprime.