Elles expliquent parfaitement à leurs bénévoles et à leurs salariés ce qu'il faut faire et ne pas faire. Je ne suis pas sûr que l'État lui-même l'aurait mieux rédigé. Voilà le droit positif. Les associations le savent pertinemment. Peut-on aller plus loin ? Mme la députée Françoise Hostalier m'a fait des propositions en ce sens. Pourquoi pas ?