J'ajoute que, contrairement à ce qu'avancent les auteurs de la proposition de loi, notre législation est en parfaite cohérence avec le droit communautaire, en particulier avec la directive du 28 novembre 2002. Je comptais le démontrer, mais Éric Diard l'a fait superbement. J'en viens donc au point suivant.
Il n'y a pas de climat d'intimidation. Il y en a d'autant moins que l'État lui-même, je l'ai rappelé, contribue à l'aide humanitaire apportée aux étrangers en situation irrégulière.