La France a le délai de rétention administrative le plus court d'Europe.
En outre, les personnes retenues bénéficient, pour permettre l'exercice effectif de leurs droits, de prestations de qualité assurées par des organismes à l'engagement et aux compétences reconnus. Cet accompagnement juridique est financé par l'État – par le biais du ministère dont j'ai la charge – pour un montant annuel de près de cinq millions d'euros.
Nous sommes donc, sur tous les plans, très éloignés des caricatures que nous venons d'entendre à cette tribune.