Je regrette tout d'abord que M. Apparu n'ait pas cru bon de défendre son propre amendement. Je le connaissais plus prompt à prendre la parole et à défendre ses convictions – ce que j'appréciais d'ailleurs.
Je remercie M. Laurent Wauquiez d'être présent et d'avoir entamé avec nous un débat sur le fond de cette proposition de loi. Cela montre que nous avions raison, ce matin, de vouloir que nos propositions de loi soient véritablement débattues.