En effet, il explique notamment que la contrainte pesant sur la conclusion de la négociation salariale est contraire au bon déroulement de celle-ci qui, alors, ne « peut plus se dérouler de manière loyale ». J'aurais aimé que M. Apparu nous éclaire sur cette formule. En poussant à son terme cet étrange raisonnement, on pourrait dire que sans contraintes, il n'y aurait plus de négociations, et que tout serait loyal ! Je regrette que M. Apparu s'en tienne au silence que M. Copé et M. Karoutchi lui ont imposé.
Aujourd'hui, ces derniers, vous l'avez constaté, ont inventé l'« absentéisme sans risque », pratique qu'ils ont mariée avec celle de la « présence silencieuse ». (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)