Je reconnais que ce rapprochement est un peu excessif. Il n'en demeure pas moins que la richesse créée par l'entreprise est le fruit du travail des personnes qui y travaillent, et que sa répartition n'est pas anodine. Je constate simplement qu'il existe de tous petits chapeaux pour les gens qui sont au RSA, et de très gros chapeaux pour ceux qui s'en mettent plein les poches ! (« Des sombreros ! » sur les bancs du groupe SRC.)