Effectivement, c'est une omission.
Je vous demande, monsieur le président, une suspension de séance d'une dizaine de minutes, pour deux raisons.
D'abord cela fait une semaine et un jour que nous examinons ce texte de loi. Les seules séances que j'ai manquées sont celles de lundi car nous ne devions pas siéger et je m'étais engagé auprès de la ville de Barcelone à participer à une conférence internationale assez importante sur un sujet beaucoup plus d'actualité et urgent qui est l'inclusion sociale.
Les rapports de force étant ce qu'ils sont aujourd'hui dans cette assemblée, et même si certains collègues socialistes s'installent de temps en temps près de moi pour faire croire que nous sommes plus nombreux, je suis seul et j'ai besoin de reconstituer ma force de travail avant d'aborder ces amendements. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Ensuite je souhaite me réunir avec moi-même pour voir si le « je » qui s'exprime dans cette assemblée est en accord avec l'autre qui sommeille.