Cela tombe très bien, monsieur le président, puisque je m'achemine vers ma conclusion.
La cohérence des réformes proposées par la droite – et ce qu'elle appelle des « réformes » sont, en général, des régressions – nous apparaît assez clairement au détour de cet article 7.
Je me permets de conclure, monsieur le président, pour faire avancer le débat…