Il faut mesurer la sincérité de nos collègues, faute de quoi le débat serait altéré. M. Jean-François Lamour, que nous connaissons bien, a été ministre des sports. Pour ma part, monsieur le président, j'ai la chance d'avoir dans ma ville le premier club d'athlétisme de notre pays et je puis témoigner de l'aide que M. Lamour et les services de son ministère m'ont apportée pour faire naturaliser des sportifs qui ne parlaient pas un traître mot de français, mais qui réalisaient de bonnes performances.