Cette rédaction, plus conforme aux souhaits de l'Assemblée, offre également l'avantage de ne pas imposer la pluriannualité aux conseils généraux qui ne la souhaitent pas. La rédaction de l'amendement n° 587 contrevenait en effet au principe de la décentralisation : ce n'est pas à l'Assemblée nationale d'imposer la pluriannualité aux conseils généraux, quand bien même chacun de nous y serait favorable. (« Très juste ! » sur les bancs du groupe UMP.)