Monsieur Paul, nous avons bien travaillé en commission et nous sommes tous dans de bonnes dispositions pour entamer l'examen des articles. Je connais le professeur Marescaux et j'ai beaucoup d'estime pour lui, mais laissez sa commission travailler et attaquons-nous au texte, car, tout en étant complet, il laisse beaucoup de place au travail du Parlement. Chacun d'entre nous pourra l'amender, l'améliorer. Mettons-nous enfin au travail !