Au même titre que le réseau ferroviaire, le réseau fluvial magistral nécessite, nous le savons, une profonde régénération, dont VNF a fixé le coût à 100 millions d'euros par an.
De même, le réseau fluvial comporte de nombreux barrages vétustes – certains remontent au XIXe siècle – dont la rénovation est indispensable pour assurer la sécurité de la navigation.
L'article 40 nous interdisant d'inscrire les crédits nécessaires, nous nous bornons à demander un rapport du Gouvernement, qui permettra au Parlement de faire le point sur les efforts accomplis dans ces deux domaines.