Je voudrais revenir sur vos commentaires, madame la ministre. Je salue votre esprit d'ouverture et votre volonté d'accéder à notre demande. Pour autant, je suis gênée lorsque vous dites que l'État n'ira pas plus loin que zéro. En effet, parlons concrètement. Chacun sait que les friches militaires n'ont pas la même valeur en zone rurale et dans une grande ville, où le prix du foncier est en général plus élevé et où, de facto, l'enveloppe de dépollution sera plus élevée.
En zone rurale, en revanche, le foncier disponible est souvent plus important…