Il a indiqué que son objectif était d'avoir un endettement de 60 % par rapport au PIB à la fin de son quinquennat. Cela a toujours été exprimé clairement, cela a même été écrit.
Ce qui a été indiqué depuis, notamment devant nos partenaires européens, par le Président de la République lui-même, c'est la confirmation de cet engagement pour 2012, étant entendu que si la croissance était au rendez-vous, nous pourrions aller plus vite dans l'accomplissement de ces engagements qui sont très forts.
Pourquoi nos partenaires européens prêtent-ils une oreille particulière à ce sujet ? Parce qu'en contrepartie, le Président de la République et le Premier ministre mettent en forme des réformes structurelles.