Mais cela résulte surtout du fait que les collectivités territoriales sont au contact direct des citoyens sur le terrain, qu'elles doivent répondre à leurs besoins et faire face à des situations concrètes et urgentes, appelant des réponses immédiates et efficaces, comme, par exemple, en novembre 2005.
À l'époque, souvenez-vous, le Gouvernement a perdu les pédales face aux violences dans les banlieues. Heureusement que les maires étaient là, sur le terrain, qu'ils soient de gauche ou de droite ! Cela dit, nous n'avons pas entendu parler de violences urbaines à Neuilly-sur-Seine, pas plus qu'à Courbevoie, Rueil-Malmaison ou Puteaux.