En dépit de la situation dont nous avions hérité, la dépense est fortement maîtrisée : nous sommes en zéro volume depuis quatre ou cinq ans. Nous espérons cependant aller plus loin, plus fort – j'y reviendrai lors du débat d'orientation budgétaire –, parce que c'est la seule façon de revenir à des critères de gestion qui soient à la hauteur des engagements de la France, non seulement vis-à-vis de l'Europe mais tout simplement à l'égard d'elle-même : c'est à mes yeux le plus important.
Jean-François Lamour nous a fait part de son intéressante expérience de ministre et de député…