Je comprends très bien la motivation de M. Estrosi. Mais je m'adresse à lui en tant que président de conseil général et maire d'une grande ville.
Quelle est l'erreur que l'on faisait jusqu'à présent ? On désaffectait trop rapidement des voies – ce que n'ont pas fait les Allemands –, alors que quinze ou vingt ans après, on avait plutôt envie de les rouvrir parce que la géographie et l'économie avaient changé.
Je pense par exemple, madame Labrette-Ménager, vous qui êtes députée de la Sarthe, à la ligne reliant Laval à Mayenne.