Il en est de même – nous y viendrons bientôt – pour toutes ces personnes qui ne peuvent pas s'acheter ou louer d'appartement en centre ville parce qu'elles n'en ont pas les moyens et qu'on a rejetées de ce fait jusqu'à 70 kilomètres. Elles sont aujourd'hui les otages de leurs voitures parce qu'il n'y a ni lignes secondaires ni transport public attractif. C'est sur un ensemble que nous devons nous battre.
(L'amendement n° 889 n'est pas adopté.)