Avons-nous été consultés ? Certainement pas ! Monsieur Folliot, tout de même, vous poussez le bouchon un peu loin quand vous réduisez le rôle du Parlement à celui d'une association de dames patronnesses réduite à exprimer son soutien aux soldats de l'armée française engagés par un homme seul, enfermé dans son palais, et qui ne consulte même pas les parlementaires.
Ce texte est cynique et des parlementaires qui consentent à le soutenir dévalorisent le Parlement ; ils ne sont pas dignes de notre histoire nationale. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)