Madame la présidente, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, le Parlement, nous en sommes tous d'accord, ne peut rester à l'écart des réflexions menées pour remédier à la grave crise financière mondiale que nous vivons.
Il nous faut à cet égard constater que la rémunération de certains dirigeants de société est parfois excessive, voire indécente, alors que la situation appelle plutôt à la raison.