Il me paraît opportun, monsieur le ministre, d'apporter quelques précisions à ma précédente intervention. Je souhaite souligner à quel point le texte que nous allons voter est profondément humain et nous devons à tout prix éviter d'en faire un texte technocratique. Évidemment, je ne faisais pas allusion à votre âme, car non seulement je pense que vous en êtes doté, mais je crois, d'ailleurs, qu'il n'y a qu'aux femmes qu'on ait nié le fait d'en avoir une. (Rires.)
À mon sens, ce texte est bon.