Madame Quéré, à partir du moment où il existe une offre ferroviaire en deux ou trois heures, l'offre aérienne ne représente plus que 4 ou 5 % du marché et devient quasiment inexistante, ce qui pose des problèmes, aujourd'hui, à l'aéroport de Strasbourg. Marseille a déjà rencontré cette difficulté et ce sera bientôt le tour de Bordeaux. Le marché et le caractère pratique du TGV règlent ipso facto le problème.
(L'amendement n° 170 n'est pas adopté.)