Je voudrais répondre à M. Cochet, car ce sujet me tient à coeur. L'automobile doit marcher, car il y a chez nous, en Moselle – et sans doute ailleurs en France –, une sidérurgie qui doit fonctionner, la cockerie de Carling, par exemple, qui, aujourd'hui, perd 400 emplois mais devrait pouvoir revivre grâce au redémarrage de l'automobile. Nous sommes tous d'accord là-dessus, et je pense que Dominique Bussereau ne me contredira pas.
Il nous faut encore gérer le présent, même si l'arrivée de la voiture électrique est imminente – et je l'approuve, car nous sommes à une époque charnière qu'il faut gérer ensemble. À ce titre, j'estime que M. Bussereau réalise un très bon travail ; faisons-lui confiance.
(L'amendement n° 340 n'est pas adopté.)