Je souhaite que l'on poursuive ce travail de fond. Je ne peux pas donner crédit à des propos rapportés – pour reprendre les mots employés par Jean-Pierre Grand dans une autre situation – par l'homme qui aurait vu l'homme qui aurait vu l'homme qui aurait vu le loup. Nous ne pouvons pas, dans le cadre de notre travail parlementaire, accorder d'importance à de tels racontars.
En tout état de cause, monsieur le président, pour que chacun reprenne ses esprits, je vous demande cinq minutes de suspension de séance. Et je souhaite qu'à l'issue de cette suspension, nous puissions reprendre nos travaux dans la sérénité qu'ils méritent.