Mais, dès lors qu'il y a désormais un ministère global pour la gestion des finances de l'État, j'ai bon espoir de rétablir la confiance des partenaires sociaux et de régler la question de cette dette dès cette année, voire dès l'automne.
La dette reste une préoccupation majeure du Président de la République et du Gouvernement. Le Premier ministre a indiqué à cette tribune, lors de sa déclaration de politique générale, que l'objectif de ramener l'endettement à 60 % du PIB serait atteint en 2012, voire plus tôt si la croissance est au rendez-vous. Nous avons donc une feuille de route très précise et très contraignante.
Pour le reste, les propos de M. de Rugy ont largement débordé du cadre de nos débats, mais j'aurai d'autres éléments de réponse à vous apporter, au moment du débat d'orientation budgétaire (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)