Il ne s'agit en aucun cas de stigmatiser les demandeurs d'emploi, ou de prétendre qu'une majorité d'entre eux profiterait du système. Il s'agit d'une petite minorité qui, tous ceux qui sont confrontés aux réalités du terrain le savent, peut être amenée à profiter du système. C'est une simple question d'équité : on ne peut fournir un effort pour mieux accompagner les demandeurs d'emploi sans essayer, en parallèle, de mieux lutter contre les abus.