Mon cher Dionis du Séjour, supposons que quelque dictateur, dans les pays que j'ai cités, ait eu le nucléaire il y a soixante-dix ans ; je ne suis pas sûr que nous pourrions en discuter dans les mêmes conditions qu'aujourd'hui.
J'en viens à ma troisième critique, à un autre manque qui rend votre projet de loi quasiment hémiplégique, madame la secrétaire d'État. Vous parlez de la surface, c'est-à-dire de la biodiversité terrestre, marine, et de l'atmosphère, mais la moitié du monde, « la moitié du ciel » comme disaient, jadis, dans les années 60, les maoïstes (Exclamations sur les bancs du groupe UMP) …