Pour l'avoir testé dans ma mairie, je puis vous assurer qu'on peut atteindre un pourcentage de bio non négligeable pour un coût relativement peu élevé. Nous en reparlerons.
J'ajoute enfin qu'en cette période de turbulences financières le Grenelle marque un retour à la raison puisqu'il privilégie le long terme sur les stratégies de court terme, l'économie réelle sur l'irrationalité financière, et la recherche – M. Quintreau en a parlé hier – sur l'obsession de la rentabilité immédiate. Je ne peux donc pas laisser M. Chassaigne dire que « l'écologie est l'otage du capitalisme ». (Exclamations sur les bancs des groupes GDR et SRC.)