Aujourd'hui, les faits prouvent la justesse de notre diagnostic et la légitimité de notre indignation. Il est temps pour les zélateurs de ce libéralisme malfaisant, sur ces bancs et au-dehors, de reconnaître leurs erreurs et de battre leur coulpe, à l'instar du Président Sarkozy à Toulon.
A cette unique condition, il sera possible d'en appeler à l'unité nationale pour reconstruire sur les ruines du capitalisme.