Mais pour être objective jusqu'au bout, je pense qu'il faudrait aussi insuffler un nouveau mode de gouvernance environnementale au sein même des institutions européennes, car elles sont beaucoup trop souvent accrochées au seul dogme de la concurrence.
En conclusion, madame la secrétaire d'État, le Grenelle I, par ailleurs fort judicieusement médiatisé, est égal à la dilution des grands principes pouvant fonder un nouveau mode de gouvernance. La gouvernance que vous nous proposez manque d'ambition, d'assise et d'une certaine forme de crédibilité. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)