Nous revendiquons des avancées dans le temps de parole réservé à l'opposition.
Nous suggérons de nouvelles pratiques comme l'instauration du droit de réplique lors des questions au Gouvernement ou la création d'un co-rapporteur.
Monsieur le rapporteur, en juin 2006, quand vous tentiez de modifier le règlement de l'Assemblée nationale, vous écriviez : « Le renforcement du rôle de notre assemblée passe par la reconnaissance de l'opposition. » Le Conseil constitutionnel vous avait empêché d'atteindre votre objectif ; vous avez aujourd'hui les moyens de le faire. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)