J'ai pourtant la conviction, monsieur Copé, que les Français sont prêts à des évolutions et que vous pourriez y contribuer utilement. Ce consensus républicain que j'appelle de mes voeux, il est possible de le construire ensemble. Mais écoutez l'opposition ! Écoutez-la de bonne foi, sans chercher à caricaturer notre position.
Je prendrai un dernier exemple, qui risque de ternir la réputation de la France : l'amendement, évoqué par M. Copé, contre l'adhésion de la Turquie dans l'Union européenne.