Elle prouverait qu'elle a peur d'inscrire dans les faits une de ses vieilles doléances, de crainte de perdre un précieux fonds de commerce.
La rencontre avec le président Ayrault, qui a bien voulu que nous discutions sur ces sujets en des termes que j'ai trouvés très courtois et très républicains, a démontré que nous étions capables ensemble d'identifier des points de consensus majeurs, dès lors qu'il s'agit de donner plus de prérogatives aux parlementaires français, qu'ils soient de la majorité ou de l'opposition.
C'est à mes yeux un signe que nous sommes capables de travailler ensemble sur ces sujets.