Mes chers collègues, il y a eu un léger incident de séance, mais je voudrais que nous en restions là, car il s'agit d'un débat de société important. Il est normal qu'un débat démocratique ait lieu dans cet hémicycle et que chacun puisse exprimer son point de vue. D'un côté comme de l'autre, il y a des femmes et des hommes qui défendent le droit et la société, et ils ne sont pas là pour être, les uns du côté des criminels, et les autres du côté des victimes. Le débat est donc recadré et j'aimerais qu'il reprenne dans la sérénité, que chacun puisse exprimer ses positions, mais que l'on n'allonge pas inutilement la discussion, car nous ne sommes pas là pour faire des effets de manches – comme vous pouvez le constater, les tribunes sont vides ! –, mais pour avancer sur un texte important.
Nous en revenons à l'examen des amendements.