On peut comprendre leurs raisons : depuis deux cents ans, ils assument la responsabilité – on sait que c'est très difficile – de prévenir, de garder et de soigner, autrement dit de traiter, des personnes qui ne peuvent pas vivre normalement dans la société. Je constate que, dans vos propos, vous avalisez l'échec et l'inertie de la psychiatrie, monsieur Dhuicq.