Je vous ai déjà indiqué, monsieur Vaxès, qu'on ne peut obliger personne à se soigner. Certains détenus pervers comme Évrard, bien qu'inaccessibles à une psychothérapie, selon les termes de l'expertise, acceptent les soins pour pouvoir bénéficier d'une libération conditionnelle et les arrêtent une fois qu'ils l'ont obtenue.