Il aurait été utile, madame la ministre, que vous donniez des explications plus détaillées pour nos collègues qui viennent pour la première fois parce qu'ils ont peur de déplaire à sa majesté impériale. Ils ont eu le courage de ne pas venir le 9 avril mais, maintenant, ils ont peur de déplaire et ils tremblent.
Vous avez réuni, monsieur Copé, toutes ces sentinelles, qui se taisent pendant le débat et ne savent que produire des onomatopées quand M. Ayrault s'exprime, même s'il y a des sentinelles de luxe. Je vois deux présidents de commission ; je vois même, il me permettra cette remarque amicale, un garde suisse : M. de Charette.