…que les assurances complémentaires rechignent de plus en plus à prendre en charge. Si nous ne travaillons pas sur ce point dans le calme avec les représentants des professions concernées, il y aura tôt ou tard un retour de balancier ici, à l'Assemblée.
Si des progrès ne sont pas réalisés d'ici à l'an prochain sur ce sujet par les partenaires conventionnels, le législateur s'en préoccupera lui-même. Ce n'est pas une question anodine. Nos électeurs attendent de nous que nous assumions nos responsabilités. On ne peut plus laisser faire n'importe quoi ! De telles pratiques ne sont pas raisonnables, elles ne sont pas dignes.
Par ailleurs, il faudrait perdre l'habitude de se référer à la notion de « tact et mesure ».