…et, d'autre part, permettre à l'université, par son potentiel humain, intellectuel et scientifique, de relever les défis de la mondialisation. Tout en reconnaissant l'urgence d'une réforme, notre collègue Yves Durand aurait préféré une réforme globale de l'université, c'est-à-dire, pour l'instant, ne rien faire.