Pourquoi n'avons-nous pas d'autre réponse que votre irritation ? Traitez donc l'Assemblée de manière différente ! Je ne comprends pas du tout cette irritation et ne vois pas pourquoi vous vous exprimez de cette manière.
J'ajouterai une seconde question : pourquoi ne prévoyez-vous pas, comme il est de tradition dans de telles circonstances, une consultation ou une information du comité d'entreprise ou des délégués du personnel sur le bénéfice des jours qui vont être rémunérés ? Je serais ravi que vous ayez la gentillesse de me répondre, monsieur le ministre, sans que je sois forcé de faire assaut de courtoisie.