Les franchises sont un sujet qui me tient à coeur et je ne cesserai de m'exprimer chaque fois que je pourrai le faire sur ce qui est une faute de la majorité et du Gouvernement. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Il ne s'agit pas, en effet, d'une franchise, mais d'une taxe, d'un impôt sur les malades. On nous objecte que la somme est minime – et, de fait, quand on a de gros revenus, un euro, cinq euros, 10 euros par jour, ce n'est rien ; mais tous les Français ne sont pas actionnaires du CAC 40 et n'ont pas de stock-options à négocier. (Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)