Je voudrais d'abord remercier les orateurs de m'avoir fait voyager de la galère de Géronte au Titanic où les violons ne jouent plus, en passant par la Caverne où je ne vois que des ombres.
Sorti de ces trois lieux, cependant, je peux vous faire part des reflets que j'y ai vus. D'abord, il n'y a pas d'oukase présidentiel. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)