Ce qui compte, aujourd'hui, c'est que nous essayons de trouver avec nos collègues socialistes et, nous l'espérons, dans le cadre de la discussion qui aura lieu à partir du 2 juin, avec nos collègues du groupe GDR, une position commune qui nous permettra d'avoir une présence forte au Parlement européen, quels que soient les groupes dans lesquels nous y siégerons. Ainsi, nous pourrons avoir un commissaire européen qui répondra à la nécessité d'un modèle social français reconnu. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)