Je rappelle à M. Vitel que l'administration française fonctionne dans le respect du principe hiérarchique. Il ne m'apparaît pas scandaleux que l'audition du SGDN ou du patron de la direction de la surveillance du territoire soit autorisée par le Premier ministre.
Par ailleurs, le SGDN n'est pas en charge de la coordination du renseignement en France et le comité interministériel du renseignement ne constitue absolument pas une instance de coordination du renseignement. Il n'en existe d'ailleurs pas du tout !